Aide à la Décision Complexe & Management par la Valeur

 


De l’Analyse de la Valeur au Management par la Valeur

Le Management par la Valeur consiste en un déploiement optimal de la « Culture Valeur » au sein d’un organisme. Celle-ci suppose l’appropriaion ajustée des concepts gagnants de l’Analyse de la Valeur à des problématiques plus globales (sytémiques et holistiques) que celles de projets épars et ciblés (la méthode est la même mais le périmètre de son application est étendu par delà le périmètre des projets).

Dédié à la complexité via la considération d’une multitude de parties prenantes et perspectives associées, le MV est particulièrement adapté aux problématiques et situations contemporaines, pour une intelligente et collective instruction des VISIONS, MISSIONS et STRATEGIES d’un organisme, quelque soit sa taille et la portée de ses ambitions.











Il offre également la possibilité de concilier la performances économique aux enjeux sociétaux et environnementaux qui caractérisent notre époque charnière vers d’autres modes d’existence ou d’être-au-monde, et d’évaluation de la performance ou de la valeur (en un mot : en / vers un autre paradigme et de nouvelles valeurs).

Il suppose alors la définition de critères, fins et priorités adpatés à une situation donnée pouvant être d’emblée considérée comme elle est réellement : inédite et décisive pour l’avenir (du / selon le périmètre considéré).

En ce sens, le Management par la Valeur est l’allié d’une réelle et potentiellement profonde évolution d’un organisme vers une « éthique situationnelle » renouvelée : elle permet d’étudier et instruire les enjeux majeurs pour la définition des VISIONS et MISSIONS en un contexte au devenir incertain et risqué.


...à moins de se complaire en incongrues communications, douteux euphémismes, néologismes abstraits, de solutions décrétées et subies, quand bien même paradoxales en leurs relatifs intérêts et modestes portées (ex : RSE et autres complexités bureaucratiques et austérités à venir) et d’obsolètes visées pour conscienceusement adresser les Visions, Opportunités et Réelles Finalités d’un organisme. D‘un organisame vivant au sein d’un système économique, social et vital en mutation, au sein duquel il veut exister, durablement, c’est-à-dire devenir, par delà le donné...

Accompagnement en Management par la Valeur

Les performances d’un organisme sont relatives à la qualité de ses relations (internes et externes)


            - Permettre l’émergence de l’intelligence collective, distribuée depuis le terrain jusqu’aux foyers décisionnels, d’un organisme résilent et sensé

            - Ajuster les Visions, Missions et les portefeuilles Stratégiques de projets comportant les plus conséquents enjeux et gisements de Valeur

            - Déployer une Culture et une Politique Valeur au sein d’un organisme et y ajuster ou réviser les réelles fins, stratégies et indicateurs associés

            - Concilier augmentation agile et durable du Sens par l’instruction collective du système de valeurs (éthique) et d’évaluation des performances


La qualité des relations au sein d’un organisme et l’intelligence systémique de ses relations avec son milieu DÉTERMINE le SENS,

la pertinence et la VALEUR de ses positionnements, décisions et actions, tout autant que SES AFFECTS, modes d’être et de penser.



Qu’en dit une philosophie refondée depuis de plus sûrs et vivants modes d’exister ? (avertissement : remise en cause de 2500 ans d’idéalisme...)


    « Une action qu’exige l’instinct de vie a dans la joie sa preuve d’être une action véritable, et ce nihiliste aux entrailles chrétiennes dogmatiques [Kant] considérait la joie comme une objectionQu’est-ce qui débilite plus vite que de travailler, de penser, de sentir sans nécessité intérieure, sans une profonde élection personnelle, sans joie, comme un automate du « devoir » ? C’est en quelque sorte la recette pour la décadence, même pour l’imbécillité…» 


Nietzsche (1888) - L’Antechrist, Essai

d’une critique du Christianisme, § XI


Le « déterminisme » considéré ci-dessus n’est pas contraignante fatalité opposée à la liberté, à laquelle il s’agirait de « s’adapter » (subir - fondamentale confusion d’a prioris et idées, affects tristes et pertes de sens en sont les effets)

Cette obsolète oppostion Kantienne entre « nécessité » et « liberté » relève d’une vision erronée (celle d’une conscience superficielle et d’un mode d’existence opposant intellect et affect, culture et nature, idéal et réel,...).

Délétère mode d’être (à soi, aux autres, au monde) cependant aux fondements de la modernité.

ManVal préfère s’inspirer et ouvrir au renouvellement - par delà la contre nature de notre culture héritée - de plus pertinents et joyeux courants de penser et modes d’être associés. Notamment, avec Spinoza et Nietzsche, pour redéfinir les concepts de Nécessité et Liberté via la conjonction d’opposés ainsi réconcilés en la fondamentale notion de « nécessité interieure », qui donne sens, pertinence et « puissance » à l’action qu’elle a pour effet.

Joyeuse Nécessité parce que « puissante », c’est-à-dire résultante de vecteurs d’intensités de vie.

Pertinente et sensée parce qu’inervée et inspirée par ce qui vit et veut vivre, et l’a fait avec grandeur, beauté et succès, depuis des centaines de millions d’années.


Voulons-nous travailler au sein d’organismes froidements rationnels (par « nécessité » de type kantienne) ou réellement vivants (animés de propres et singulières Nécessités intérieures) ?

Plutôt des organismes réellement Rationnels (au sens de Spinoza plutôt que Descarte) parce que Vivants, au sein du vivant (cf. le Dieu de Spinoza : la Nature, la Phusis, du grec ancien φύσις).


Des entreprises responsables bien qu’entropiques en un monde a bout de souffle ou des entreprises en devenir syntropiques ?

Telle est la question coeur de l’approche Valeur appliquée par ManVal aux organismes soucieux de leur devenir et de l’avenir.